J’ai participé au débat budgétaire à la fin de l’année dernière au congrès. Il a été confirmé que le gouvernement Mapou avait sollicité la France pour établir et équilibrer son budget. La question centrale était de savoir à combien se montait cette sollicitation et s’il s’agissait d’une aide, d’une subvention ou d’un prêt. Malgré mes demandes répétées, Yannick Slamet, membre du gouvernement en charge du budget, a été incapable d’apporter des réponses précises. Et cela s’explique, car on comprend l’embarras de ce gouvernement indépendantiste à réclamer la pleine souveraineté tout en implorant la France de lui accorder plusieurs milliards d’aide pour financer nos propres compétences !
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La France a décidé de s’impliquer davantage dans la lutte contre le réchauffement climatique dans le Pacifique. En commission de l’Assemblée, j’ai interrogé la Secrétaire d’état au développement Chrysoula Zacharopoulou, sur les aides allouées aux états du pacifique menacés par la montée des eaux. Il s’avère que la France à triplé le budget des aides dédiées aux petits états insulaires de notre région.
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Le député Nicolas Metzdorf en lien avec la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun Pivet a organisé la toute première visite «virtuelle » de l’Assemblée nationale depuis la classe de CM2 de monsieur Lavigne à l’école Paul Duboisé à Dumbéa, Katiramona dirigée par Mickaël Lelong.
Il s’agit d’un dispositif innovant, créé par la présidente de l’Assemblée nationale à destination des outremers et c’était la première “visite” organisée. Cette innovation s’inscrit dans la volonté de la Présidente Braun-Pivet d’ouvrir au plus grand nombre possible l’enceinte du temple de la démocratie, la maison du peuple qu’est le Palais Bourbon.
La visite a consisté en un tour virtuel des différents lieux emblématiques de l’Assemblée nationale comme l’hémicycle et à des sessions de questions réponses.
La guide de l’Assemblée, la présidente et le député Nicolas Metzdorf ont répondu durant une heure et demi aux nombreuses et très pertinentes questions des élèves. Cette visite, à laquelle ont assisté également Marie-Jo Barbier, présidente de la commission de l’enseignement de la province Sud et Georges Naturel, maire de Dumbéa, s’inscrit en effet dans le programme scolaire d’éducation morale et civique : rôle des institutions et des élus, citoyenneté et histoire.
C’est un véritable honneur pour la Nouvelle-Calédonie d’être le premier territoire à bénéficier de ce dispositif et d’avoir eu durant une heure et demi la présidente de l’Assemblée totalement disponible. Cela rappelle que malgré la distance, notre île est une part essentielle de la République française
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Invité à la base aérienne 186 Lieutenant Paul Klein, j’ai assisté, en présence de nombreux jeunes engagés dans différents dispositifs en lien avec nos armées, à une présentation de la Mission Pégase 2023. Une belle affirmation de la présence française en Nouvelle-Calédonie, avec ses stratégies et ses alliances dans la zone Indo- Pacifique.
Et clou du spectacle : le décollage des rafales !
Quand le chef de groupe de l’UNI accuse les non-indépendantistes d’être responsables du déficit d’Enercal, je lui précise qui est responsable de quoi avec chiffres à l’appui.
Pour madame Sakilia les élèves qui échouent sont des « déchets »… Même monsieur Djaïwé est intervenu pour dénoncer ces propos insultants. Les voyages en Azerbaïdjan ne font pas du bien apparement.
Ma réponse au secrétaire général de l’UC qui s’oppose au dégel du corps électoral prévu par l’état et donc au report des élections provinciales.
Agnès Pannier-Runacher, Ministre du gouvernement, qui connaît très bien le dossier du nickel Calédonien a été très claire lors de sa réponse à mon interpellation sur la signature du pacte nickel.
Invité par mon collègue député Denis Masséglia à débattre en live sur Twitch. Denis est le député défenseur du E-Sport. Un député branché, sympa et qui va voter pour le dégel
A l’occasion de la séance des Questions au gouvernement, après l’avoir remercié d’avoir consacré autant de temps à la Nouvelle-Calédonie et aux Calédoniens, j’ai interpellé le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin sur deux thèmes : l’avenir institutionnel et le nickel. J’ai rappelé à la Représentation Nationale que les Calédoniens se sont prononcés à trois reprises en faveur du maintien au sein de la France, mais j’ai précisé que « la situation n’est pas réglée, il nous faut encore écrire un nouveau statut dans la République et modifier la Constitution.
Dans sa réponse, Gérald Darmanin a de nouveau affirmé la position de l’État : « la France, a-t-il déclaré, a redit qu’il n’était pas question de réorganiser un référendum dans le quinquennat du Président de la République, bien évidemment, mais qu’elle était toujours ouverte à l’autodétermination qui figure dans la constitution de la République, dans un exercice qu’il nous faut définir ensemble. Mais surtout de voir quel projet nous avons, nous les Français et la France, pour la Nouvelle-Calédonie, voir quelles compétences supplémentaires nous pouvons éventuellement accorder au gouvernement de Nouvelle-Calédonie et comment nous pouvons travailler ensemble pour que nous respections l’autonomie de la Nouvelle-Calédonie au sein de la République, en respectant le poids de l’Histoire ». Concernant le nickel, j’ai à nouveau déclaré qu’il était essentiel que l’État prenne sa place dans la définition du plan nickel et agisse pour obtenir sa souveraineté vis-à-vis de son schéma énergétique en cessant d’être dépendant de la Russie. Pour sa part, Gérald Darmanin a rappelé le soutien régulier et important de l’État au nickel calédonien.
https://www.youtube.com/watch?v=oQpxPBci3JE&feature=youtu.be
Dans le cadre du débat budgétaire à l’Assemblée, j’ai été désigné par le groupe de la majorité présidentielle pour défendre l’action du gouvernement contre la motion de censure déposée par l’extrême-gauche. J’ai rappelé qu’en Nouvelle-Calédonie, nous étions capables au Congrès de dépasser nos convictions profondes au nom de l’intérêt général, vertu dont l’opposition à l’Assemblée parait dénuée. J’ai salué l’action déterminé du gouvernement Borne à présenter un budget cohérent en ces temps de crise.
J’ai dénoncé le fait que la France Insoumise, qui n’avait pas de mots assez forts pour dénoncer les insultes d’un député RN, a accepté de voir sa motion de censure qu’elle n’a pas retiré, être voté par les voix de cette même extrême-droite. J’ai dit à mes collègues de LFI qu’en politique,« il y a l’écume de l’agitation et il y a le réel. Vous créez la première, nous affrontons le second. »
https://www.youtube.com/watch?v=LqxfjTcksEw&feature=youtu.be